Concours de L’Arbre de l’Année — Concours de L’Arbre de l’Année

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Carte des Arbres lauréats de 2011 à 2021

Partez à la découverte des arbres lauréats du concours "Arbre de l'année" de 2011 à 2021. Initié en 2011 par le magazine Terre Sauvage et l'Office national des Forêts le concours récompense des arbres de France pour leurs qualités esthétiques, biologiques, historiques mais aussi le lien qui unit le groupe ou la personne à l'arbre. Un prix est décerné par le jury, un autre par le public et un coup de cœur de notre partenaire l'Arbre Vert.. Proposez votre arbre dès le 1er mars de chaque année ! Ouverture du dépôt des candidatures à partir du 1er mars et jusqu'au 30 juin.

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Châtaignier

C’est le plus célèbre châtaignier de La Celle-Saint-Cloud, situé au cœur d’un quartier résidentiel, calme et arboré, appelé « la Châtaigneraie ». Autrefois, il y avait ici des bois et de vastes pâtures : ce châtaignier a pu se développer tout à son aise au beau milieu d’une ­prairie. C’est à partir de 1920 que les premières constructions apparaissent. De nos jours, cet arbre majestueux trône sur une petite place, la place du Général-Audran, réaménagée en 2010 pour le mettre en valeur. D’arbre des champs, il est ainsi devenu arbre de ville. Il voit aujourd’hui défiler les véhicules, mais pas uniquement. Les promeneurs qui prennent quelques instants pour s’asseoir à ses côtés ont tout le loisir de détailler son tronc qui présente des irrégularités sous la forme de cannelures en hélice : l’arbre est dit « vissé ». Son écorce brune forme une belle spirale partant du pied jusqu’au houppier, lui donnant une forme particulière. Autre caractéristique notable, sa ramure est large et il n’est pas très haut, car on exploitait jadis son bois pour produire des piquets. Pour cela, il a été fréquemment coupé en tête, ce qui lui donne un aspect quasi tabulaire.

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Châtaignier

Il est là, comme perdu au milieu de nulle part, dans la campagne melloise, avec sa silhouette ramassée et trapue, son tronc en grande partie creux, dans lequel on peut se lover, son écorce plissée et striée, qui a vécu tant de choses, vieux de plusieurs siècles. Il n’est pas aussi perdu que l’on pourrait le croire : il est à la croisée des chemins. On en dénombre au moins six, peut-être sept : petites routes, chemins buissonniers et layons, disposés en étoile, avec le vieil arbre au centre. Le lieu est même très fréquenté. D’abord pour les châtaignes qui, en cet automne, attirent de nombreux ramasseurs. Mais il est surtout connu de tous comme un phare, comme un repère. La « talle à teurtous », dans le parler local, c’est le châtaignier de tous, qui appartient à tout le monde. Un arbre public, en somme. La talle désigne un châtaignier greffé pour la production de fruits. Marie-Thérèse Cromer, adjointe chargée de la communication de Celles-sur-Belle, souhaite que le patrimoine naturel soit mieux connu et reconnu, qu’il soit davantage mis en valeur : c’est dans ce sens que va cette candidature.

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Châtaignier de Kerseoc’h

Le châtaignier de Kerseoc’h serait l’un des plus vieux de son espèce en France. On peut même dire qu’il fait partie des arbres les plus colossaux et vieux d’Europe. Rien que cela. La naissance de ce monument végétal peut être située vers l’an 800, alors que l’empereur Charlemagne régnait sur le Vieux continent. C’est l’un des premiers arbres à avoir été classé « monument naturel de caractère artistique », en 1910. Il atteignait alors une circonférence extraordinaire de plus de 20 mètres ! Mais dans les années 1960, il a été grandement endommagé par un incendie dû à l’imprudence (et à la bêtise) d’un chasseur qui voulait déloger un animal réfugié dans un terrier au pied du tronc… L’arbre brûla alors pendant dix jours. Aujourd’hui, sa circonférence est proche de 14 mètres. Il n’en conserve pas moins une prestance toute particulière, celle des arbres séculaires qui ont su défier le temps et nous impressionnent par leur force, leur abnégation et leur résilience, témoins silencieux de l’Histoire, du temps qui passe, du temps qui file et nous échappe, qui enflamment notre imagination. Aux alentours L’anse du Pouldon est réputée comme étant l’une des zones humides les plus riches de Bretagne, constituée de grandes vasières et de prés-salés, où de nombreuses espèces de poissons viennent se reproduire. Mais c’est surtout un véritable paradis ornithologique : on estime qu’entre 10 000 et 15 000 oiseaux y séjournent chaque hiver.

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Classement des votes 2023

14 arbres nominés ont été soumis aux votes du public du 2 novembre au 18 décembre 2023

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