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Le chêne de la Reine Jeanne

On dirait qu’il nous tend ses multiples bras pour nous conter l’histoire des lieux. Le chêne de la Reine Jeanne, non loin du château du même nom, à Vence, est réputé pour sa taille imposante et sa longévité. Il est un véritable outil pédagogique pour les enseignants, qui y amènent régulièrement leurs classes pour rappeler l’importance de préserver la nature. Il est aussi un symbole local, le témoin silencieux de l’histoire et de l’évolution de la commune. Depuis le Moyen Âge, c’est un lieu historique, il y avait ici un village au XIIIe siècle.

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Le chêne du parc de Puybusque

Dans un parc municipal d’un hectare environ, tout près de l’école de Saint-Sulpice-sur-Lèze, ce chêne déploie une forme basse singulière (un tronc principal et cinq secondaires), qui est sans doute due à un accident de jeunesse. Avec son allure tentaculaire et ses dimensions généreuses, il est devenu le terrain de jeu rassurant et idéal pour les petits. Les traditionnelles photos de classe de maternelle l’attestent : le chêne du parc de Puybusque a grandi avec les générations et a forgé de nombreux souvenirs dans la tête des habitants. « Il a été planté par le propriétaire du parc à l’époque de sa création, aux alentours de 1860, à proximité de l’orangeraie devenue école maternelle », explique Jean-Luc Flament, conseiller municipal. La commune a voulu mettre cet arbre en valeur dans le cadre du concours, parce qu’il symbolise son action quotidienne pour reverdir un village ancien dans le contexte du réchauffement climatique. Elle a en effet instauré un « permis de végétaliser », qui encourage chaque habitant à jardiner et planter dans l’espace public.

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Tamaris

Le tamaris d’Afrique du lieu dit Losari, à Belgodère, se présente sous la forme d’une cépée de 10 mètres de circonférence au sol qui pointe à une hauteur de 11 mètres. C’est une taille rarement atteinte chez cet arbuste natif des régions côtières de l’ouest de la Méditerranée, qui ne dépasse pas 2 à 3 mètres en général. Mais ce qui impressionne encore davantage, c’est la surface occupée par l’arbre, proche de 600 mètres carrés ! Cette croissance remarquable est probablement liée à l’abondance de l’eau sur le site. Les dimensions et les anciennes photographies disponibles laissent penser que ce tamaris est très certainement centenaire. Il présente une forme tentaculaire, formée de pas moins de 16 charpentières rampantes et tortueuses. Certaines sont entrelacées, quand d’autres s’étendent au-dessus de la rivière Fiume di Regino. Comme bien souvent pour les sujets âgés de cette espèce, le tronc et les charpentières ont tendance à se creuser ; deux sont d’ailleurs brisées, mais toujours vivantes. Un deuxième arbuste sort également de terre via le marcottage d’une des charpentières. Ses feuilles en écailles imbriquées, vertes à gris vertes, et ses fleurs blanches à rose pâle, apportent de la couleur dès la fin de l’hiver. Une merveille naturelle.

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Un parrain pour l'édition 2024 !

Gérald Ariano, journaliste passionné et engagé parrain du concours Arbre de l'année !

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Vous avez été près de 11 500 à voter pour votre arbre préféré du 8 novembre au 20 décembre. Le chêne bicentenaire du Finistère à remporté le plus de suffrage, retrouvez les votes des 14 arbres nominés

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